dc.contributor.author | Barraud de Lagerie, Pauline | |
dc.date.accessioned | 2012-09-18T07:29:47Z | |
dc.date.available | 2012-09-18T07:29:47Z | |
dc.date.issued | 2011 | |
dc.identifier.uri | https://basepub.dauphine.fr/handle/123456789/10020 | |
dc.description.abstractfr | Cet article analyse la production de « dispositifs de jugement » qui n’ont pas pour seule finalité d’éclairer les consommateurs sur la qualité des produits, mais sont aussi conçus comme un instrument de réforme des pratiques des entreprises. L’auteur y étudie la construction d’outils de « prescription indirecte » à travers le cas du Collectif De l’Éthique sur l’Étiquette, qui milite en France pour l’amélioration des conditions de travail dans les pays du Sud. Pour transformer l’offre en agissant sur la demande, ce collectif a souhaité renseigner les consommateurs sur la « qualité sociale » des produits qu’ils achètent. Un tel projet supposait un certain nombre de choix métrologiques. Et l’on voit combien l’usage d’une démarche d’évaluation à des fins militantes peut se révéler délicate. Si le Collectif a su composer avec de nombreuses contraintes pour produire effectivement un dispositif d’évaluation de la qualité sociale, son refus de sanctionner positivement les entreprises a en revanche conduit sa démarche à l’échec. | en |
dc.language.iso | fr | en |
dc.subject | qualité sociale | en |
dc.subject | mouvement anti-sweatshop | en |
dc.subject | Labels | en |
dc.subject | Consommation engagée | en |
dc.subject.ddc | 334 | en |
dc.title | D'un étiquetage à l'autre. Le mouvement anti-sweatshop entre dénonciation des entreprises et équipement des consommateurs | en |
dc.type | Article accepté pour publication ou publié | |
dc.relation.isversionofjnlname | Sciences de la société | |
dc.relation.isversionofjnlissue | 80 | en |
dc.relation.isversionofjnldate | 2011 | |
dc.relation.isversionofjnlpages | 147-161 | en |
dc.subject.ddclabel | Economie sociale | en |
dc.relation.forthcoming | non | en |
dc.relation.forthcomingprint | non | en |